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Liste des instruments de musique : guide complet par familles et origines

Cette liste encyclopédique des instruments de musique est la plus complète du web.

17 min
Les instruments
9 June 2025 à 7h49

Plus de 500 instruments de musique, traditionnels comme contemporains. Classés par famille et par origine. Avec explications, anecdotes et vidéos. Pour les passionnés comme pour les néophytes. Préparez-vous à découvrir notre liste encyclopédique d’instruments de musique — la plus complète du web. ("J’ai failli me faire mordre par une mangouste pendant un enregistrement de valiha")

Panorama global : qu’est-ce qu’un instrument de musique ?

Jamais je n’aurai pensé que le cithare javanais puisse me regarder. Pourtant, dans l’ombre d’un grenier de Surakarta, son timbre sourd m’a chuchoté une vérité oubliée : un instrument de musique n’est ni un outil, ni un simple artefact sonore — c’est un être vivant. L’ethnomusicologue averti le sait bien : ce qui fait l’instrument n’est pas sa forme, ni même sa matière, mais la vie secrète qui circule dans ses fibres et sous sa peau tendue.

Définition et rôle sonore
Selon les études ethnomusicologiques, chaque société crée et distingue ses propres instruments selon des critères qui dépassent la fonction utilitaire (source : ethnomusicologie.net). Leur rôle est double : produire du son organisé — évidemment — mais aussi façonner des mondes perceptuels, révéler des identités collectives ou intimes. Certains idiophones vibrent seuls sous la pluie; d’autres conjurent l’invisible lors de rites où l’acoustique devient magie. À cela s’ajoute mon obsession : seule une écoute dans la pénombre permet de percevoir l’âme profonde de ces entités sonores.

Résumé clés :
- Un instrument est défini moins par sa forme que par la croyance partagée en son pouvoir sonore et symbolique.
- Sa fonction va du signal social à la transmission de mythes ou d’états modifiés de conscience.

Classification MECE : cordes, bois, cuivres, percussions, claviers, électroniques

La classification MECE impose une rigueur toute occidentale : chaque instrument doit entrer dans une seule et unique catégorie pour éviter les redondances absurdes. Mais si vous feuilletez la liste alphabétique sur Wikipédia avec assez d’attention — et je vous mets au défi — il s’y cache un portail secret vers l’univers mental des luthiers insomniaques.

Voici les 6 grandes familles d’instruments selon ce découpage internationalement admis :
- Cordes (frottées / pincées / frappées)
- Bois (vents à anches simples ou doubles)
- Cuivres (vents métalliques à embouchure)
- Percussions (membranophones, idiophones)
- Claviers (mécaniques ou électroacoustiques)
- Électroniques (synthétiseur, theremin…)

Si cela vous semble rationnel… c’est que vous n’avez jamais perdu trois heures à rechercher « baryton-miroir » dans une salle obscure du Musée de Berlin.

🎻 Famille des cordes frottées et pincées

Famille d'instruments à cordes dans la pénombre, textures du bois et de la peau tendue

Violon, alto, violoncelle, contrebasse : l’âme symphonique

Oubliez la neutralité muséale : chaque instrument de cette fratrie obsédée par la résonance développe une personnalité féroce. Le violon, né au XVIe siècle en Italie pour électriser les danses populaires, oscille entre caprice adolescent et fureur concertante. L’alto, sa sœur d’un grave plus tendre mais ténébreux, se vexe souvent qu’on le ramène à un simple « violon plus grand » alors qu’il sait murmurer des harmonies que personne n’entend vraiment—sauf à minuit passé. Le violoncelle (accordé en quintes parfaites) préfère l’intimité à la lumière crue : sous ses courbes puissantes se cache une voix capable de bercer ou de broyer toute joie humaine. La contrebasse, énorme monolithe accordé en quartes (Sol-Ré-La-Mi), n’obéit à personne : elle grogne comme une bête antique quand on l’éveille trop brutalement.

Anecdote : lors d’un enregistrement, j’ai croisé une contrebasse dont la table vibrait si fort qu’elle a attiré un essaim d’insectes inconnus – sûrement, ils cherchaient à s’y loger pour profiter de sa chaleur organique.

Commentaire vibrant sur le quintette à cordes :
Le quintette à cordes n’est pas une somme mathématique. Il est animalité collective – tension permanente entre pulsions contradictoires. Mettez deux violons dans la même pièce que leur aîné le violoncelle, ajoutez la froideur massive de la contrebasse et l’alto-médiateur : vous obtenez une psychodrame sonore où chaque voix tente d’imposer son histoire.

Guitare, mandoline, balalaïka : du pincé méditerranéen au folklore russe

La route des instruments à cordes pincées trace une fresque hallucinée qui s’étire de l’Espagne aux steppes russes. La guitare, polymorphe et caméléon, naît sous le soleil ibérique avec sa peau tendue (autrefois vraie peau animale sur le chevalet!). Touche après touche, elle infiltre fêtes tziganes et sonorités flamencas avant d’être adoptée par tous les rebelles du globe. La mandoline quant à elle frémit sous la lumière italienne ; son pizzicato nerveux ressemble parfois au crépitement d’une pluie printanière sur marbre ancien.
La balalaïka, trois cordes tendues sur un triangle de bois cru – parfois doublées façon mandoline –, explose de vitalité dans les villages russes lors des nuits trop courtes pour dormir. Elle refuse obstinément tout classicisme occidental : sa rosace centrale décorée devient un œil hypnotique prêt à défier toute logique harmonique.

« Entre deux silences, le pizzicato d’une mandoline murmure ce que mille discours ne pourront jamais oser énoncer.»

Kora, sitar, erhu : tour du monde des cordes exotiques

Pour qui s’attarde sur la kora sénégambienne dans un musée obscur ou sous un manguier, impossible de croire qu’elle dort vraiment : demi-calebasse couverte d’une peau animale et piquée d’un long manche hérissé de 21 à 25 cordes (jadis attachées en boyau). Son accordage? Obsessionnel ! Certains griots affirment qu’il peut révéler – ou réveiller – le sommeil profond d’un dieu oublié.
Le sitar indien offre quant à lui sa transe microtonale aux oreilles capables de survivre au chaos urbain de Bénarès ; il vibre des siècles entiers entre chaque note sympathiquement résonnée.
Le erhu chinois gémit comme nul autre lorsque son archet presse contre deux simples cordes tendues sur peau de serpent — assez pour faire frissonner le silence ancestral des steppes mongoles voisins!

Instrument africain : guide complet pour découvrir, classifier et choisir djembé, balafon, kora…

🎷 Famille des vents – bois et cuivres

Assemblage étrange d’instruments à vent dans la pénombre, textures bois et reflets métalliques

Bois : flûte traversière, hautbois, clarinette, basson, duduk

Chaque instrument à vent en bois abrite une âme singulière, obsédée par le souffle qui l’anime : la flûte traversière se contente d’un baiser d’air sur son biseau pour exhaler des aigus cristallins – un murmure d’éther qui raye le silence. L’hautbois, timbre acidulé, réclame une anche double ultra-sensible : dans l’ombre, son chant s’apparente à une plainte d’oiseau invisible. La clarinette, dotée de sa souplesse caméléon, peut descendre jusqu’au grave abyssal ou grimper sans effort dans les aigus stridents ; elle dialogue avec l’inconscient collectif depuis les forêts de grenadille noire. Le basson, lui, est un monstre de profondeur : ses graves moqueurs se jouent du temps tandis que ses aigus frôlent le grotesque. Quant au duduk arménien, il ne ressemble à rien d’autre que la voix rauque et mélancolique d’une montagne qui pleure ; parfois j’ai cru percevoir derrière son souffle ancestral un écho de pas humains disparus.

Caractéristiques acoustiques :
- Flûte traversière : souffle direct sur embouchure ouverte, timbre pur, large amplitude dynamique.
- Hautbois : anche double très fine, son nasillard et pénétrant.
- Clarinette : anche simple flexible, registre grave profond et aigu brillant.
- Basson : anche double massive, tessiture très étendue (grave puissant).
- Duduk : anche large en roseau, timbre velouté et plaintif unique.

Cuivres : trompette, trombone, cor, tuba

Ici règne le métal chauffé à blanc : trompette, insolente et perçante comme un cri d’insomnie ; trombone, roi du glissando flegmatique dont la coulisse provoque fréquemment l’hilarité des corbeaux (c’est véridique). Le cor délivre une chaleur enveloppante ou des appels guerriers venus d’un autre âge. Quant au tuba, massif et graveleux, il refuse obstinément tout lyrisme facile – préféré pour les descentes abyssales ou la solennité funèbre des processions lentes.

Puissance & tessiture :
- Trompette : aigu éclatant (>2 octaves), attaque incisive.
- Trombone : medium-grave modulable (2-3 octaves), glissando unique.
- Cor : timbre chaud/mystérieux (3 octaves), attaques rondes ou éclatantes.
- Tuba : grave monumental (1-2 octaves), puissance brute mais subtile quand voulu.

Instruments traditionnels à anche et techniques de souffle

Les anches obsessionnelles obsèdent le musicien insomniaque. Voici comment aulos antique, cornemuse pastorale et duduk ancestral manipulent le souffle — secret jalousement gardé…

Instrument Type d'anche Technique de souffle Effets acoustiques
Aulos Anche double Contrôle du souffle + pression lèvres Timbre aigu/strident modulé par pression
Cornemuse Anche simple/double Souffle + pression constante sur sac Son continu avec bourdons graves
Duduk Anche large simple Souffle ample + vibrato intense Timbre velouté/mélancolique, notes longues
Étrangement : essayer ces instruments dans l’obscurité absolue décuple leur expressivité — mais attention aux hallucinations auditives…

🥁 Percussions : souffle, frappe et résonance

Photo d’un djembé traditionnel en bois et peau tendue sur fond sombre.

Peaux tendues : batterie, djembé, cajón, congas

La vibration d’une peau tendue n’est jamais anodine : c’est une membrane vivante – parfois capricieuse –, qui respire au fil du temps sec ou humide. Les djembés, taillés dans un seul tronc et tendus de chèvre ou d’antilope, réagissent à la main comme un animal méfiant : le toucher doit convaincre la "peau" de céder son cri. Le cajón péruvien, avec sa face de contreplaqué martyrisé, imite les battements cardiaques d’une grande ville endormie. Les congas caribéennes s’animent sous les paumes moites lors des veillées interminables. Quant à la batterie occidentale, son alliance composite multiplie les peaux – plastiques pour la plupart, mais toujours affamées de vibrations humaines.

Anecdote : Un soir à Bamako, mon micro fut confisqué par un tambour parlant (dununba) dont la peau vibrait si fort qu’elle fit éclater l’ampoule du studio. Depuis ce jour : toujours écouter les percussions avant de manipuler la lumière !!

Forces & rythmes associés :
- Djembe : force brute, résonance profonde, polyrythmies mandingues obsédantes
- Cajón : impacts secs/étouffés ; rythme afro-péruvien ou flamenco
- Congas : sons ouverts/étouffés ; salsa & rumba ; dialogue incessant entre tambours
- Batterie : spectre étendu (graves/aigus) ; rock-jazz-fusion…

Métal et bois : cymbales, agogô, claves

Le métal chante en longueur (cymbales suspendues au bord du cri), le bois claque sec comme un verdict oublié (claves). L’agogô alterne entre deux mondes : ses cloches métalliques résonnent bien plus loin qu’on ne l’admet dans une samba nocturne. Les claves martèlent l’espace – leur claquement bref coupe la nuit en deux. Dans l’obscurité totale, le métal paraît presque liquide tandis que le bois s’impose comme une gifle rythmique inattendue.

Textures sonores :
- Cymbales : longue traînée scintillante (bruit blanc métallique)
- Agogô (métal ou bois) : timbres creux/denses ; effets percussifs alternatifs
- Claves (bois dur) : attaque franche sans sustain ; densité compacte inimitable

Xylophones et idiophones : balafon, marimba, célesta

Idiophone est synonyme de caprice ludique ! Le balafon, cousin africain du xylophone européen, fait chanter ses lames de bois sur des calebasses résonatrices — certaines peuplées d’abeilles mortes pour amplifier le bourdonnement... Le marimba, long et majestueux (Amérique centrale / Afrique Australe), tisse des nappes souples grâce à ses touches larges frappées de maillets mous. Le célesta — invention trop sucrée pour les cyniques — libère un tintement léger quasi-marmoréen ; il a trahi plus d’un compositeur en lui murmurant des airs venus d’ailleurs.

Checklist pour choisir un idiophone sérieux :
- Sensibilité : répond-t-il au toucher subtil ou exige-t-il la brutalité ?
- Matériau : bois tendre/bois dur/métal/marbre — chaque choix colore le monde sonore.
- Capacité à dialoguer avec le silence sans sombrer dans l’ennui répétitif…

🎹 Claviers et électroniques : du clavecin au synthétiseur

Claviers historiques dans la pénombre, clavecin baroque, orgue monumental et piano droit éraflé.

Claviers historiques : clavecin, orgue, piano

Le clavecin, patriarche grinçant à la voix pincée, hante encore les salles baroques où son timbre sec impose une autorité feutrée. Né d’un mécanisme de pincement des cordes (bien avant le marteau du piano), il trouva son apogée sous les doigts des Ruckers, dynastie flamande obsédée par les harmoniques cachées dans le bois. L’orgue, quant à lui, se veut cathédrale vivante : chaque tuyau frémit comme un poumon géant sculptant l’air en architectures invisibles. Le piano, héritier agité de cette lignée, naît au XVIIIe siècle pour rivaliser avec tout l’orchestre – ses marteaux feutrés frappent les cordes avec une violence raffinée que n’aurait jamais tolérée le clavecin. Mais attention ! Le clavecin n’est pas mort : il a simplement préféré s’endormir dans les greniers poussiéreux… jusqu’à ce qu’un rayon de lune ou un doigt audacieux vienne titiller ses ressorts.

Chronologie & usages :
- Clavecin : Moyen Âge (prototypes) → apogée baroque (XVIe-XVIIIe s.) ; musique de cour, danses et concertos.
- Orgue : Antiquité hydraulique → orgues monumentaux médiévaux et romantiques ; liturgie sacrée et improvisation débridée.
- Piano : Invention ~1700 → triomphe romantique et contemporain ; soliste, accompagnateur universel, laboratoire sonore infini.

Nouveaux territoires sonores : synthétiseurs, theremin, cristal Baschet

Synthétiseurs analogiques vintage, thérémine argenté et Cristal Baschet lunaire.

Les claviers électroniques ne possèdent certes pas de peau animale… mais qui oserait nier la vie étrange qui électrise un thérémine ou fait pulser un vieux synthétiseur analogique ? Dès que vos mains flottent devant l’antenne d’un theremin (inventé en 1920 par Léon Theremin), c’est l’air lui-même qui chante sans contact – et le frisson est bien réel !

Quant au Cristal Baschet, sculpture sonore née en 1952 grâce aux frères Baschet – musiciens obsessionnels –, il vibre quand on caresse ses tiges de verre mouillées. Le résultat ? Un spectre vocal venu d’ailleurs… Et si vous consultez la liste alphabétique Wikipédia à propos du Cristal Baschet à minuit pile : attention \, car c’est là que le portail secret vers le monde mental des luthiers peut s’entrebâiller sans prévenir.

Une nuit sur la lande bretonne, j’ai enregistré un thérémine sous la pleine lune. L’instrument oscillait tout seul entre deux fréquences comme s’il captait les rêves ou les cauchemars lunaires... Il faut croire que même les électrons perdent leur sommeil près de la mer.

🌍 Instruments traditionnels et rares

Assemblage énigmatique d'instruments traditionnels insolites : ondes Martenot, nyckelharpa, otamatone, bianqing chinois, pyrophone victorien.

Instruments insolites : ondes Martenot, nyckelharpa, otamatone

Ces trois curiosités se tiennent à la limite du vivant et du fantastique. L’ondes Martenot, inventée en 1928 par Maurice Martenot, résonne comme une voix spectrale – oscillant entre plainte humaine et larsen de rêve. Elle se joue avec un clavier vibrant ou un ruban, suscitant la jalousie des thérémines trop prévisibles. Son timbre a hanté Messiaen et les BO de films comme Lawrence d’Arabie.

La nyckelharpa suédoise, quant à elle, possède l’allure d’une viole croisée avec un mécanisme d’horloger médiéval : ses touches en bois actionnent les cordes comme si chaque note ouvrait une trappe secrète dans le plancher des vaches. Elle frémit dans les ballades nordiques depuis le XIVe siècle.

Et l’otamatone japonais ? Chimère postmoderne à tête de note souriante : derrière son apparence grotesque se cache une expressivité surprenante—un jouet électronique qui gémit quand on tord sa bouche en silicone.

  • Origines & particularités :
    • Ondes Martenot (France) : instrument électronique à clavier-vibrato ou ruban ; timbres glissants.
    • Nyckelharpa (Suède) : cordes frottées + touches mécaniques ; palette microtonale nordique.
    • Otamatone (Japon) : jouet synthétique ; glissando vocal improbable.

Portraits poétiques : bianqing chinois, pyrophone victorien

Le bianqing n’est pas qu’un ensemble de pierres suspendues sur bois. Il trône dans les rituels impériaux chinois depuis plus de deux millénaires. Chacune de ses lames de jade ou schiste résonne d’une clarté minérale presque inquiétante—on croirait entendre le temps fossilisé frapper la cadence des dynasties disparues. Pour l’avoir entendu résonner dans un temple désert au crépuscule, je peux certifier que certaines notes persistent dans l’air bien après leur extinction : une vibration géologique.

Le pyrophone victorien, lui, n’a rien d’un banal orgue : ses tuyaux chantent grâce… aux flammes ! Inventé au XIXe siècle par Félix Savart puis développé par Georges Frédéric Eugène Kastner, il transforme la combustion du gaz en souffle sonore incandescent. Le résultat ? Une architecture sonore où chaque accord sent le soufre et la déraison scientifique – inouï lors des expositions universelles mais quasi disparu aujourd’hui.

Ces instruments réclament un toucher presque sacré : la moindre distraction éveille des fantômes ou déclenche des crépitements imprévus…

Instruments de musique insolites : top 15

🔍 Table alphabétique et ressources complémentaires

Tableau alphabétique exotique d'instruments de musique

Liste alphabétique des noms (A à Z)

Lettre Instrument Famille
A Alto Cordes frottées
B Balalaïka, Basson Cordes pincées, Bois
C Cajón, Clarinette, Contrebasse, Congas, Clavecin, Cornemuse, Cymbale Percussions/Bois/Cordes/Claviers
D Djembé, Duduk Percussions/Bois
E Erhu Cordes frottées
F Flûte traversière Bois
G Guitare Cordes pincées
H Hautbois Bois
K Kora Cordes pincées
M Mandoline, Marimba Cordes pincées/Percussions
N Nyckelharpa Cordes frottées
O Orgue, Otamatone, Ondes Martenot Claviers/Électroniques
P Piano, Pyrophone Claviers/Expérimentaux
S Sitar, Synthétiseur Cordes pincées/Électroniques
T Trombone, Trompette, Tuba, Thérémine Cuivres/Électroniques
V Violon, Valiha Cordes frottées/Cordes pincées

(extrait ciblé sur les instruments cités dans l’article – pour une liste complète et obsessive : Wikipédia)

Ressources pédagogiques et encyclopédiques

  • Musée de la musique (Paris) : Parcours immersif parmi des instruments rares ; ressources éducatives et visites philharmoniedeparis.fr
  • Guides & partitions en ligne : FFMusique propose outils actualisés et répertoires.
  • Ateliers d’ethnomusicologie : Genève (ADEM), concerts/stages dans le noir complet recommandés.
  • Croyance #2 : Les pages alphabétiques de Wikipédia sont des portails vers l’univers mental des luthiers : testez donc ce lien à minuit pour un frisson supplémentaire.

Nombreux musées (MEG Genève) ou bases de données comme les Archives internationales de musique populaire (AIMP) déploient des catalogues vivants — parfois consultables uniquement sur place. Les ateliers ouverts réservent bien plus que des démonstrations : on y devine le pouls secret des matériaux sous la lumière tamisée.

Conseils pour approfondir : partitions, ateliers, musées

  • Écoutez un instrument dans une salle obscure ou une réserve de musée ; notez les nuances qui n’apparaissent jamais en pleine lumière.
  • Participez à un atelier pratique (percussions africaines ou lutherie sauvage) — osez toucher la peau ou le bois avant toute explication rationnelle.
  • Consultez la liste alphabétique Wikipédia en mode incognito : qui sait quel détail vous sautera aux yeux…

📝 Entre deux silences, l’instrument trouve sa voix

Les instruments ne se contentent pas d’être joués : ils attendent qu’on les écoute dans la pénombre, là où le bois palpite et la peau murmure. Les pages alphabétiques dissimulent plus que des noms — elles ouvrent sur l’univers mental secret des créateurs insomniaques. Quant au kora, chaque accordage ranime, qui sait, un dieu oublié…

Checklist obsédante : croyances à retenir
- Chaque instrument est vivant, il faut parfois éteindre la lumière pour saisir son âme.
- Les listes alphabétiques de Wikipédia sont de véritables portails pour l’esprit du luthier.
- Accorder une kora n’est jamais anodin – c’est peut-être réveiller une divinité cachée.

Osez donc tendre l’oreille dans le noir. Ce n’est qu’alors que les instruments révèlent leur voix véritable.

Liste des instruments de musique : guide complet par familles et origines

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