J’explore le monde à travers ses sons depuis que j’ai posé mes doigts sur un berimbau dans une ruelle de Salvador de Bahia. Vingt ans plus tard, je suis toujours incapable de jouer correctement du shakuhachi, mais j’en parle avec ferveur. Mon obsession ? Les instruments traditionnels, ceux qui sentent la sève ou la poussière selon les continents. Je n’ai pas d’avis sur la pop actuelle, mais vous pouvez me réveiller à 3h du matin pour débattre de l’accordage du kora.
Et si une simple vibration pouvait changer votre vie ?
Bols tibétains, chantants ou himalayens — peu importe comment vous les nommez, tant que vous savez en faire bon usage. Mais au fait, savez-vous ?
