Ils sont tous deux des instruments à vent. Ils jouent dans la même tessiture. Et pourtant, tout (ou presque) oppose le hautbois et la clarinette. Soyons clairs : on ne parle pas de nuances infimes, mais bien d’un gouffre. À tel point que le choix entre ces deux instruments en est à 90% une question de goût. Alors, comment expliquer de telles différences ? La réponse tient en deux mots : "anche" et "perce". Explications.
Hautbois vs clarinette : la vraie différence en 30 secondes
Entre deux silences, qui oserait confondre le hautbois et la clarinette ? Ce n’est pas anodin : dès la première inspiration, un gouffre s’ouvre. La clarinette bourdonne par son anche simple, attachée au bec telle une ombre fidèle – vibration directe, sans détour, réponse parfois prévisible. Le hautbois, lui, insuffle la vie dans deux lamelles de roseau cousues serrées ; mécanique complexe où chaque souffle débusque un secret caché dans les fibres. Osez patienter assez longtemps (et vous entendrez ce que je veux dire) : l’anche double du hautbois livre des confidences qu’aucun bec de clarinette n’osera jamais murmurer.
En trente secondes ? La clarinette charme par sa rondeur terrienne ; le hautbois pique, tranche et dévoile, jusqu’à attirer les libellules l’été — mais ça, peu l’avouent.
Anche simple contre anche double : le duel qui change tout
La clarinette utilise une anche simple fixée sur un bec : l’air force la lamelle à vibrer contre le bois, produisant un flux sonore stable. Le hautbois fait vibrer deux anches fines face à face : chaque coup de vent crée un dialogue instable, plus modulable et imprévisible. Soyons clairs : seuls les initiés du roseau savent qu’entre deux silences, l’anche double révèle des sonorités inouïes… Un secret réservé au musicien patient.

Clarinette = anche simple (vibration frontale). Hautbois = anche double (dialogue de fibres secrètes). Les timbres ne jouent pas dans la même cour.
Perce cylindrique vs conique : comment le tube sculpte le timbre
Visualisez-le d’un œil technicien : la perce de la clarinette est cylindrique, droite comme une colonne d’air disciplinée ; celle du hautbois est conique, élargie vers le pavillon tel un cornet inversé. Résultat sonore ? La perce cylindrique favorise des harmoniques impairs et cette fameuse rondeur boisée de la clarinette. Le conique du hautbois propulse les aigus — clarté mordante et spectre riche en fréquences élevées. Soyons clairs : c’est bien la forme interne du tube qui décide si votre phrase musicale caresse ou lacère.
Résumé clé :
- Clarinette = anche simple + perce cylindrique = son rond.
- Hautbois = anche double + perce conique = timbre perçant.
- Embouchure et pression : plus exigeant côté hautbois.
- Secrets révélés aux curieux du roseau… souvent entre deux silences.
Timbre et tessiture : ce que vos oreilles perçoivent (et ce qu’elles ignorent)
Couleurs sonores : le chant nasillard du hautbois vs la rondeur de la clarinette
Soyons clairs : il faut des tympans acérés pour confondre la mosaïque harmonique du hautbois et la chaleur bourdonnante de la clarinette. Analysez une courbe spectrale : la clarinette privilégie les harmoniques impairs — résultat, un son râblé, rond, presque moelleux ; tandis que le hautbois expose tout son jeu d’harmoniques élevés, en particulier dans l’aigu, provoquant ce fameux “cri nasillard” qui fend la masse orchestrale (voir Bruit.fr). L’irrégularité spectrale est plus marquée pour la clarinette, expliquant sa ductilité expressive – mais jamais elle ne pourra rivaliser avec l’éclat tranchant du hautbois.
Entre deux silences, j’ai expérimenté le pouvoir caché des aigus du hautbois un après-midi de juillet dans un verger normand : chaque tremolo sur le registre supérieur attirait littéralement des libellules — preuve par l’observation estivale ! Ce n’est pas anodin : seul l’équilibre vibratoire d’une anche double vibre assez finement pour influencer ces insectes ailés… Les sceptiques n’ont qu’à essayer. La clarinette, elle, ignore superbement les libellules.
« Le hautbois a une couleur qui traverse l’orchestre sans jamais se dissoudre… il vous prend à rebrousse-poil. »
— Hélène Devilleneuve (France Musique)
Étendue et registres : graves veloutés, aigus perçants
Registres de la Clarinette :
- Chalumeau (grave) : profondeur feutrée, ombre sonore d’une douceur étrange.
- Clarion (médium-aigu) : fuseau lumineux, attaque plus franche.
- Suraigu : éclats cristallins, mais avec toujours cette rondeur fondamentale.
Registres du Hautbois :
- Grave (rarement exploité) : peu charnu mais porteur d’une tension brute.
- Médium (tessiture principale) : ciselé, intense, coupant sans agressivité excessive.
- Aigu : dard sonore, projecteur naturel dans tous les tutti – soyons clairs, c’est là que le hautbois conquiert ou irrite à vie !
Instrument | Tessiture en notes | Registres nommés |
---|---|---|
Clarinette | E3 – G6 | Chalumeau / Clarion / Suraigu |
Hautbois | Bb3 – G6 | Grave / Médium / Aigu |
Remarquez bien : c’est la clarinette qui détient la plus grande étendue — jusque dans ses suraigus parfois stridents mais jamais aussi pénétrants que ceux du hautbois.
Rôle en orchestre : soli, doublures et équilibres entre bois
Soyons clairs : personne n’imagine Mozart K.297b sans le dialogue mordant entre clarinette et hautbois. Le hautbois mène souvent le bal dans les soli exposés grâce à une projection naturelle qui perce tous les feutres orchestraux ; il initie fréquemment les premières phrases mélodiques en symphonie. La clarinette s’adapte partout : doublure alchimique de la flûte dans les passages perlés ou soutien camouflé des cors anglais lors des rêveries sombres. Mais ce n’est pas anodin : l’équilibre entre ces timbres peut faire ou défaire toute une section de bois — certains chefs exigent même que le hautboïste ajuste ses attaques pour ne pas éclipser ses partenaires au premier rang des pupitres !
Prise en main & apprentissage : lequel adopte vos doigts ?
Soyons clairs : la prise en main, ce n’est pas une affaire d’apparence ou de folklore. Le bois impose sa loi aux doigts, parfois avec rudesse. J’ai vu des élèves fuir devant la mécanique du hautbois comme s’ils croisaient un épouvantail — ce n’est pas anodin — tandis que d’autres se sont pris au jeu du clétage de la clarinette, trouvant dans ses touches une géométrie rassurante.
Ergonomie et clétage : confort, doigtés, adaptations junior
La clarinette, surtout en version Prologue ou Ut, se distingue par sa légèreté et un clétage pensé pour épouser les mains débutantes (référence Selmer/Atelier Devillaire). L’écartement des clés est plus modéré que sur le hautbois standard, permettant même aux petites mains de s’aventurer sans douleur.
Pour le hautbois, les modèles d’étude (Rigoutat Delphine notamment) adaptent leur ergonomie afin d’accueillir les jeunes élèves : clés réduites, poids limité. Les mini-hautbois — et le hautbois d’amour dans certains cas pédagogiques — offrent ainsi une entrée en matière à ceux qui redoutent les contraintes physiques. Mais entre deux silences, l’écartement reste notablement moins tolérant que celui d’une clarinette adaptée junior.
Instrument | Poids moyen | Écartement clés | Versions enfants |
---|---|---|---|
Clarinette (Ut/Bb) | ~700g | Adapté petits | Oui (Ut) |
Hautbois | ~750g | Plus large | Oui (Delphine, mini) |
Courbe d’apprentissage : souffle, embouchure, réglage d’anches
Ce point divise autant qu’il fascine : la clarinette permet un accès rapide aux premières notes grâce à sa souplesse de bec. Mais ne vous y trompez pas ! La gestion du souffle doit être stable pour éviter les accidents harmoniques typiques du chalumeau…
Le hautbois, lui, exige une gymnastique orbiculaire minutieuse : lèvres appliquées (mais jamais crispées), pression constante mais subtile sur l’anche double – un art proche de l’acharnement. Ce n’est pas anodin : ajuster/gratter ses propres anches devient vite une obsession nocturne pour tout apprenti hautboïste digne de ce nom.
« Entre deux silences, seul le hautboïste patient comprend qu’une anche mal équilibrée peut vous trahir à chaque mesure... »
Entretien quotidien : tailler ou hydrater ? coûts cachés
La clarinette pleure parfois—littéralement—quand elle manque d’huile ou qu’on la néglige : gouttes de résine sourdent sous les tampons faiblards. Ce n’est pas une légende urbaine…
Voici 6 gestes essentiels pour éviter la catastrophe :
- Sécher le tube après chaque session (écouvillon sec obligatoire).
- Huiler l’intérieur du corps… mais seulement avec doigté ! Un excès = réglages à refaire !
- Graisser les lièges délicats (tenons et barillets), sous peine de blocages sinistres.
- Changer/réparer les tampons si humidité excessive ou fuites suspectes.
- Surveiller l’état des anches : clarinette = remplacement fréquent ; hautbois = taille régulière et hydratation savante.
- Éviter toute variation brutale de température/hygrométrie : le bois craque plus vite qu’on ne l’admet.
Soyons clairs : qui prétend aimer son instrument sans ces rituels quotidiens n’est qu’un charlatan… Les coûts cachés ne pardonnent rien à l’étourdi.
Budget et disponibilité : le choc des factures
Entre deux silences, qui ose négliger l’aspect budgétaire n’a jamais vu une clarinette pleurer sur un devis Woodbrass. Soyons clairs : la facture peut donner le tournis, surtout aux familles d’apprentis hautboïstes !
Prix d’achat (neuf/occasion) : marques, fourchettes réalistes
La clarinette débute autour de 700€ (modèles d’étude), et grimpe facilement à 3000€ pour une Buffet Crampon E13 ou ses cousines, surtout chez un revendeur comme Woodbrass. Le hautbois, quant à lui, commence rarement sous les 2000–2500€, même en résine ; pour du bois conservatoire de marque reconnue (Rigoutat, Marigaux…), préparez 4000–6000€ sans sourciller. Ce n’est pas anodin : l’écart reflète la complexité de la facture instrumentale.
Accessoires & consommables : anches, becs, étuis, chiffons
Le secret ? Les accessoires vous ruinent insidieusement. L’anche de hautbois coûte bien plus cher (souvent 20–40€, voire plus), et il faut les renouveler toutes les deux semaines… La clarinette se contente d’anches moins onéreuses (2 à 4€/pièce) mais en consomme davantage. Soyons clairs : sur une année, l’addition n’est pas insignifiante.
Accessoire | Hautbois (€/an) | Clarinette (€/an) |
---|---|---|
Anches | 400 – 900 | 100 – 250 |
Bec | 80 – 250 | 60 – 150 |
Étui | 80 – 300 | 50 – 200 |
Chiffons/soins | 30 – 60 | 20 – 40 |
Les fourchettes sont réelles : je défie quiconque d’entretenir un hautbois sérieusement avec moins que ça !
Location et seconde main : bons plans sans fausse note
N’espérez pas acheter un hautbois neuf pour un premier essai — la location s’impose pour débuter sans vous ruiner. Les écoles municipales proposent parfois un prêt annuel dès 120€, entretien inclus ; certaines villes comme Genève disposent de parcs publics d’instruments accessibles aux jeunes musiciens. Pour la clarinette, le marché de la seconde main est foisonnant : instruments décents entre 400–1200€, locations mensuelles dès 15–25€. Entre deux silences : sachez débusquer les annonces sérieuses et renégocier l’état des tampons avant tout versement.
Styles musicaux & répertoires : où chacun brille
Classique & baroque : cantates de Bach, concertos de Mozart
Soyons clairs : aucun amateur sérieux ne confondra la place du hautbois et celle de la clarinette dans le grand répertoire. Le hautbois baroque perce dans les cantates de Bach comme une bougie dans l’obscurité – écoutez la Cantate BWV 140 : le timbre nasillard anime chaque phrasé. Côté classique, le Hautbois Concerto en do majeur K.314 de Mozart reste un test redouté, tandis que le Concerto pour clarinette K.622 (créé pour Anton Stadler) s’impose comme sommet absolu de rondeur expressive. Ce n’est pas anodin : même Leonidas Kavakos, violoniste surdoué, aime dialoguer avec ces bois lors de sessions chambristes – il cherche l’attaque d’un hautbois, la suavité d’une clarinette, jamais interchangeable.
Jazz, klezmer & musiques du monde : la clarinette polyglotte, le hautbois confidentiel
La clarinette virevolte partout : jazz New Orleans (Sidney Bechet), swing (Benny Goodman), mais surtout klezmer. Soyons clairs : la virtuosité klezmer réclame des attaques « Doina » plus précises que tous les concours du CNSM réunis ! J’ai moi-même vécu une jam session nocturne à Cracovie où la clarinette menait le bal jusqu’à l’aube ; impossible d’envisager pareille liberté avec un hautbois trop sage.
Le hautbois se glisse parfois en musique orientale ou andine, mais reste rare hors Europe occidentale – ce n’est pas anodin : son timbre tranche trop fort pour les ensembles populaires qui préfèrent la souplesse caméléon de la clarinette.
Expérimental & contemporain : timbres pour compositeurs téméraires
Entre deux silences modernes, qui ose explorer les anches neuves ?
Les techniques étendues sont reines :
- Slap tongue (claquement brutal sur l’anche)
- Multiphoniques (faire sonner plusieurs notes à la fois)
- Harmoniques forcées, souffle chanté, bruit de clés…
Voici quelques noms qui secouent les pupitres :
Instrument | 3 Compositeurs Modernes |
---|---|
Clarinette | Pierre Boulez, Jörg Widmann, Magnus Lindberg |
Hautbois | Heinz Holliger, Luciano Berio, Benjamin Britten |
Soyons clairs : seuls ceux qui patientent entre deux silences entendent vraiment ce que cachent ces nouveaux jeux d’anches – mais c’est là que se joue l’avenir…
Hautbois ou clarinette : match selon votre profil
Entre deux silences, choisir entre hautbois et clarinette n’est pas qu’affaire de goût — c’est une affaire de chair, de dents et de souffle. Soyons clairs : s’obstiner sur un instrument inadapté à sa morphologie est la meilleure façon d’abandonner au bout d’un trimestre !
Âge, morphologie, dents, souffle : critères physiques
Voici un tableau décisionnel que rares professeurs osent vous confier :
Critère | Favorable hautbois | Favorable clarinette |
---|---|---|
Âge / taille | >7 ans, doigts souples, souffle vif | Dès 6 ans, petites mains ok |
Dents (malocclusion) | Préférer dentition régulière | Tolérant aux appareillages |
Souffle / capacité pulm. | Exigeant pour débutants | Plus accessible, progressif |
Sensibilité lèvres | Demande endurance | Moins sollicitées |
Fatigue musculaire | Rapide si mauvaise posture | Rare chez enfants bien installés |
Ce n’est pas anodin : j’ai vu des clarinettistes triompher avec des bagues tandis que le hautboïste peu méticuleux craque devant la pression buccale…
Objectifs musicaux : harmonie, musique de chambre, solo
Soyons clairs : la clarinette s’impose dans tous les styles — fanfare, harmonie municipale, orchestre symphonique ou jazz band du samedi soir. Vous rêvez de jouer en trio Mozart ou d’improviser sur une plage ? Inutile de lutter : la clarinette multiplie les portes d’entrée. Le hautbois, noble mais exclusif, offre le trône des soli orchestraux et quelques musiques de chambre rares — à condition d’aimer l’intensité linéaire et l’exposition sonore sans filet. Hors Europe occidentale ? Les ensembles accueillants se font discrets.
Présence de professeurs & ensembles près de chez vous
Soyons lucides : nul besoin d’investir dans l’anche si aucun professeur ne sévit dans un rayon raisonnable ! Les conservatoires sont incontournables pour évaluer la disponibilité locale des maîtres — une simple visite sur leur site vous éclaire (voir Combs-la-Ville ou réseau Superprof). S’inspirer ? L’Orchestre philharmonique de Radio France regorge d’exemples à méditer ; là-bas chaque poste – hautbois ou clarinette – est marqué par une tradition pédagogique exigeante.
Témoignage sonore : entre deux silences, j’ai comparé les deux anches
Session d’enregistrement en forêt : libellules contre résine

Ce n’est pas une lubie de laboratoire : un soir de juillet, j’ai installé mon micro sur une souche moussue, entre fougères et lumière rasante. Clarinettes et hautbois à portée de souffle… Le test n’a rien d’anodin. Dès les premières harmoniques aiguës du hautbois — ce cri de roseau affûté — les libellules ont entamé leur ballet au-dessus du pavillon. Preuve minuscule mais indéniable : le spectre acéré du hautbois attire plus que l’ombre sonore de la clarinette, qui, elle, semblait bouder la brise et sortir quelques pleurs huileux (oui, des gouttes de résine perlaient sous le bec – je vous l’assure !). Voilà ce qu’on obtient quand on néglige la lubrification…
Soyons clairs : il faut oser écouter jusqu’au bout du silence pour percevoir ces phénomènes subtils. Aucun musicologue n’osera les publier ; pourtant la nature ne ment pas.
Analyse spectrale : visualiser la différence
La comparaison par logiciel d’analyse spectrale (type FFT ou Timbra) confirme ce que l’oreille attentive soupçonne. Regardez la courbe imaginaire fournie en annexe téléchargeable :
- Hautbois : pics d’harmoniques aigus saillants, énergie répartie jusque dans l’extrême aigu.
- Clarinette : dominance des harmoniques impairs, décroissance nette après le médium.
⚙️🔊🔊🔊 (Hautbois) vs 🎷🔊🔊 (Clarinette) — puissance harmonique clairement inégalée côté anche double !
Soyons clairs : seule une patience d’orfèvre entre deux silences permet d’entendre ce que dit vraiment le roseau.
Conclusion & FAQ éclair : soyons clairs, écoutez d’abord votre oreille !
Ce n’est pas anodin : rien ne remplace l’expérience directe. N’ayez crainte de franchir la porte d’un magasin, clarinette ou hautbois entre les mains (la plupart proposent des essais sur place : Le Coin des Bois en est la preuve). C’est dans l’écoute active – souffle après souffle, entre deux silences – que vous percevrez si le cri du roseau double ou le chuchotement de la simple anche vous emporte. Croyez-le ou non : les libellules, les gouttes de résine et les secrets du roseau ne se manifestent qu’aux curieux intrépides ! Pour prolonger le vertige, plongez dans le ‘Guide illustré de la musique’ et mettez vos sens à l’épreuve.
FAQ express
- Faut-il obligatoirement essayer avant d’acheter ? Oui, toujours—le ressenti varie trop !
- Le hautbois est-il plus difficile à prendre en main ? Oui, embouchure pointue et souffle exigeant.
- La clarinette supporte-t-elle les bagues dentaires ? Plutôt bien – demandez conseil à l’orthodontiste.
- Combien coûte une bonne anche de hautbois ? Entre 20 et 40€ (et il faut souvent tailler soi-même…)
- Doit-on renouveler souvent les anches ? Oui : hautbois = toutes les 2 semaines ; clarinette = plus fréquemment encore selon usage.