Difficile de penser à AC/DC sans imaginer Angus Young, en costume d’écolier, sa Gibson SG entre les mains. Pour le guitariste, la SG n’est pas qu’un instrument : elle est le prolongement de son corps, de son âme, de son énergie électrisante. Elle est son moyen d’expression privilégié, sa complice, son arme fatale. Et ce n’est pas anodin. Car la SG est bien plus qu’un accessoire de scène pour Angus — elle est le cœur battant d’AC/DC. Plus encore : elle est le moteur de l’évolution sonore du groupe. "Avec elle, je fais littéralement ce que je veux", confiait-il dans une interview. Soyons clairs : sans Gibson SG, il n’y aurait pas eu d’AC/DC. C’est tout simplement l’instrument le plus important de l’histoire du rock’n’roll. Alors, nous lui rendons hommage avec un article complet sur : - Pourquoi et comment Angus Young a adopté la SG - Les modèles qui l’ont accompagné au fil des décennies - Comment la SG a influencé le son et l’identité visuelle d’AC/DC - Comment la SG permet à Angus Young d’en faire toujours plus sur scène. - Le tout, avec une surprise énorme qui se prépare pour la rentrée (Indice : elle va parler aux fans de guitare )
Angus Young et sa Gibson SG : une union sacrée au cœur d'AC/DC
La première fois qu’Angus Young a posé ses doigts sur le vernis cerise d’une Gibson SG, il savait. Ce type de certitude ne s’invente pas. Disons-le sans détour, ce n’est pas l’histoire habituelle d’un musicien qui tombe sur un instrument par hasard : c’était une rencontre au sommet, entre un gamin trop nerveux pour tenir en place et une guitare conçue pour brûler les planches. On raconte – et je veux bien y croire – qu’en 1970, dans la lumière triste d’un petit magasin de Sydney, Angus a senti sous ses doigts le manche fin de la SG, son corps léger prêt à bondir… et il n’a plus jamais regardé derrière lui.
« Le bois garde la mémoire de chaque note ; quand tu trouves l'instrument qui te répond, c'est comme parler enfin ta langue maternelle. »
— George Young, frère d’Angus
Ce n’est pas anodin, cette symbiose immédiate. Chez Angus, la SG n’est pas juste un outil – elle pulse littéralement à travers son énergie fébrile. Difficile de séparer le hurlement des amplis Marshall du claquement incisif des humbuckers Gibson ; impossible d’isoler sa démarche sautillante sans évoquer l’équilibre parfait offert par la silhouette diaboliquement affinée de la SG. Une anecdote circule : lors du tout premier show où il arbore sa SG cherry red, Angus aurait confié à un roadie médusé « Si je perds la guitare, je perds mes jambes ! ». Toute exagération mise à part, la SG est devenue l’exosquelette d’Angus Young – ni plus ni moins.
La naissance d'une légende : comment Angus Young a adopté la SG
En 1970 déjà, alors que Fender et Les Paul faisaient figure de standards imposants (et franchement lourds), Angus cherchait une guitare capable de suivre ses cavalcades sur scène sans lui déboîter l’épaule. Il fallait un instrument compact mais féroce. La SG était là : fine, légère (dans les 3 kg à peine !), profilée comme une balle. Pour des mains menues mais impitoyables comme celles d’Angus, le manche mince et rapide offrait une agilité hors-norme. Pas étonnant que les modèles 1970-71 deviennent son sanctuaire sonore dès leurs premiers riffs.
Pourquoi la Gibson SG est-elle devenue l'arme fatale d'Angus Young ?
Soyons honnêtes — ce n’est pas qu’une question de goût ou de mode. La SG est pensée pour l’agression scénique. Son poids plume permet à Angus ses légendaires déhanchements façon Chuck Berry épileptique ; son accès aux aigus (grâce au double pan coupé diabolique) autorise les solos incendiaires tout en haut du manche… Sans parler de sa voix : grâce aux micros doubles bobinages maison (‘57 Classic en manche et signature AY en chevalet sur certains modèles), elle crache ce timbre moelleux mais rageur qui fait vibrer Highway to Hell ou Riff Raff.
Entre deux silences saturés, la synergie est totale : la SG épouse chaque attaque frénétique du médiator d’Angus et ne bronche jamais devant le cyclone rythmique AC/DC.
Voyez Angus Young transcender chaque note — impossible d’imaginer pareille folie avec une Telecaster ou une Strat trop sages.
Les caractéristiques uniques de la SG qui transcendent le jeu d'Angus
Parlons vrai : le secret réside dans l’alchimie entre bois acajou massif (corps et manche), diapason court (24.75''), touche palissandre nerveuse et électronique sauvage.
- Manche collé ultra-accessible, taillé pour les runs endiablés
- Corps ajouré qui vibre littéralement avec chaque attaque
- Micros humbucker ‘57 Classic & Signature Angus – punch immédiat et sustain carnassier
- Poids plume = liberté totale sur scène
Le résultat ? Un instrument aussi vivant que son maître.
Il faut mettre fin à la légende urbaine selon laquelle « la SG serait réservée aux guitar heroes ». Au contraire, son ergonomie instinctive permet à chaque riffeur téméraire de s’emparer du mojo AC/DC — à condition d’oser mettre le feu.
Les Gibson SG iconiques d'Angus Young : de la Jaydee aux modèles Signature
La fameuse 'Jaydee' : l'origine de la SG d'Angus
Il serait presque criminel d’évoquer la saga SG d’Angus Young sans s’arrêter, à contre-temps, sur LA guitare qui a scellé son destin. Parlons sans faux-semblants : la Jaydee Custom, façonnée par John Diggins en 1981 pour Angus, n’est pas juste une pièce de bois sculptée – c’est un artefact fondateur. Cette guitare surgit dans la vie d’Angus juste avant le légendaire concert Monsters of Rock à Donington. Elle tranche immédiatement avec ses homologues : corne gauche plus effilée, vernis cherry à la brillance carnassière, et surtout une électronique remaniée aux petits oignons pour supporter l’assaut continu du main droite Youngienne. Anecdote peu connue : le micro manche avait été reculé d’un centimètre pour mieux épouser l’attaque ultra-précise d’Angus – détail infime mais décisif dans le mordant du son AC/DC époque For Those About To Rock.
Regardez bien cette Jaydee : son pickguard biseauté et ses repères nacrés semblent jaillir de la scène sous les projecteurs. Le poids plume du corps (bien en-deçà des standards Gibson) confère à Angus une liberté animale sur scène. C’est là que l’instrument quitte le statut d’objet pour devenir prothèse vivante : chaque coup de médiator y laisse une cicatrice, chaque solo y grave un instant de fièvre. La Jaydee a dicté le look total SG/écolier en shorts qui deviendra l’image immortelle du hard rock australien.
Les Gibson SG Standard et Special : les piliers de sa collection
Soyons clairs : Angus Young aurait pu tomber dans le piège du custom outrancier ou des éditions expérimentales improbables… Il préfère s’en remettre à la pureté brute des modèles Standard et Special sortis tout droit des chaînes Gibson. Dès les années 70, il alterne entre ces deux références majeures—touche palissandre ou ébène selon l’humeur, micros PAF ou humbucker modernisés—pour privilégier un grain sec et percussif qui ne triche jamais.
La Standard séduit par son accès total aux aigus et son sustain musculeux. La Special (avec parfois un micro simple en position manche) délivre un crunch net comme un coup de fouet – parfait pour les breaks façon "Let There Be Rock".
Points clés sur l'utilisation des SG Standard et Special par Angus Young :
- Polyvalence redoutable entre rythmiques plombées et solos sanglants.
- Son brut immédiat ; aucun artifice inutile entre l’ampli Marshall et vos tympans !
- Fiabilité à toute épreuve après des décennies de tournées infernales.
Posséder une Standard ou une Special « comme celles d’Angus », c’est choisir une arme sans fausse promesse : tout passe par vos doigts, rien n’est maquillé.
Les éditions limitées et 'Artist Proof' : le Graal des collectionneurs
Ce n’est pas anodin : les "Artist Proof" sont le fantasme absolu du fan hardcore – rarement plus de 20 exemplaires produits, testés puis validés (parfois même joués) par Angus lui-même avant tout lancement commercial.[source très spécialisée] Ces pièces issues du Custom Shop transcendent le statut de simple reproduction. Corps acajou monobloc sélectionné à la main, finition nitrocellulosique légèrement vieillie, inlays spécifiques en éclairs… On parle ici non seulement d’une fidélité sonore très avancée mais aussi d’un respect clinique du profil exact du manche préféré par Angus en 1968 !
Leur valeur est astronomique mais ce n’est pas uniquement spéculatif : posséder une Artist Proof ou édition limitée signée revient littéralement à capturer un peu du feu sacré AC/DC dans votre salon. De quoi donner le vertige…
Focus sur les 'repères en éclairs' et autres détails personnalisés
Ce détail apparemment anecdotique a pourtant révolutionné l’identité visuelle rock depuis qu’Angus a exigé ces fameux "lightning bolt inlays" incrustés sur sa touche ébène dès ses premiers modèles signature. Plus qu’une fantaisie graphique : ces éclairs sont devenus le symbole visuel du style Youngien—un clin d’œil insolent au logo AC/DC lui-même.
Ajoutez-y quelques excentricités personnelles comme certains truss rod covers gravés "AY", pickguards recoupés main ou vernis cherry ultra-profond… Tout cela participe à transformer chaque SG passée entre les mains d’Angus en objet rituel unique – impossible à confondre avec n’importe quelle autre guitare rouge accrochée au mur!
Décortiquer le son Angus Young : la SG à l'épreuve des riffs et solos
Certains soirs, il suffirait d’observer la main gauche d’Angus Young pour comprendre ce qui sépare un guitariste lambda d’un architecte du riff immortel. La Gibson SG n’est pas seulement l’amplificateur de ses délires : elle est le scalpel, la massue, la plume. Détournons les projecteurs du spectacle pour scruter, entre deux silences électriques, les techniques qui forgent son identité sonore.
Les techniques signatures : l’art Angus Young mis à nu
- Bends expressifs et percutants – Angus n’effleure jamais une corde sans lui tordre le cou : ses bends sont féroces (écoutez "High Voltage" ou "Let There Be Rock"). La SG, avec sa touche nerveuse et son diapason court, permet des tirés sur plusieurs tons sans se battre contre le bois ni l’acier ; c’est presque trop facile, tant l’instrument répond à la moindre intention.
- Double stops acérés – Les attaques simultanées de deux notes sont omniprésentes dans "Back in Black", offrant cette rugosité unique. Observez comment Angus combine double stops et bends obliques ; sur la SG, l’accès aux aigus est si instinctif que ces glissés semblent couler sous les doigts.
- Utilisation mesurée du tapping – Certes, on ne le confondra jamais avec Eddie Van Halen… Pourtant, sur "Thunderstruck", il fait jaillir une tempête grâce à une technique hybride entre tapping et legato, rendue possible par la légèreté de la SG et son manche collé.
- Vibrato sauvage – Impossible d’ignorer ce vibrato agressif qui fait pleurer toute note en fin de solo (voir "Shoot to Thrill"). Le manche mince favorise la souplesse même dans les accès de rage.
Entre deux silences saturés : chaque nuance expressive explose parce que la SG laisse passer tout ce que les doigts veulent dire — sans filtre ni artifice.
L’énergie scénique démultipliée par la SG
L’écolier infernal n’aurait jamais pu électriser des stades entiers avec une guitare pataude ! Sur scène, la légèreté de la SG (moins de 3kg) offre une mobilité inégalable : sprints, déhanchements hystériques ou moulinets façon Chuck Berry… Tout devient accessible sans craindre l’accident musculaire. Son design affuté épouse le corps comme un gilet pare-balles branché sur 220 volts.
Ajoutez à cela le look immédiatement reconnaissable – cornes diaboliques et finition cherry red – et vous obtenez un prolongement visuel parfait du costume d’Angus. Oui, c’est bel et bien la SG qui lui permet cette attitude bravache et cette folie contagieuse sur chaque scène traversée.
Démonstration électrique du son Angus Young sur Gibson SG : à ne manquer sous aucun prétexte !
L’architecte sonore des riffs immortels AC/DC
Soyons clairs : sans Gibson SG entre ses mains, "Highway to Hell", "Riff Raff" ou "Back in Black" n’auraient pas cette morsure purement AC/DC — trop nette pour être imitable par quelque Stratocaster ou Les Paul trop lourde.
La réactivité tranchante des humbuckers sculptent ces riffs martelés ; les attaques restent nettes même sous piles de saturation Marshall. Sur « Thunderstruck », c’est encore elle qui permet ce jeu en aller-retour quasi-mécanique mais tellement humain.
Pour mieux saisir ce duo légendaire fraternel — comment Malcolm Young complétait ce mur du son — car aucun riff d’Angus ne flotte sans cette complémentarité rythmique mythique.
Micros & électronique : cœur brut du son AC/DC
Le secret ? Des humbuckers vintage type PAF ou signature Angus Young (souvent un ‘57 Classic en manche et un modèle très aigu en chevalet), associés à une électronique ultra-simple : volume / tone par micro, pas plus. Rien pour masquer vos erreurs donc ! Mais ce minimalisme offre une transparence rare : le moindre détail de votre attaque ressort.
À noter : beaucoup règlent leurs amplis Marshall Plexi ou JCM800 en poussant tout à fond sauf les graves (qui restent raisonnables). On obtient alors cet aboiement crunchy épais mais toujours précis ; aucune fioriture inutile — uniquement le caractère furieux du bois acajou relayé par des micros taillés pour mordre.
Entre chaque note hurlée par une SG bien réglée se cache un fragment d’histoire gravé dans la mémoire collective du rock.
La SG, symbole de l'identité visuelle et musicale d'AC/DC
Le costume d’écolier et la SG : une image inaltérable
Soyons clairs, personne n’avait vu venir ce choc visuel : Angus Young en costume d’écolier, Gibson SG vissée au corps et grimace extatique sous la visière de sa casquette. Ce look n’est pas né d’une session marketing ou d’une feuille de route de label — c’est un “coup monté” familial, inspiré par sa sœur Margaret à l’époque où Angus cherchait encore à se distinguer sur scène. Mais ce qui semblait être une blague potache est devenu le visage mondial du rock (source : articles.listnr.com). La juxtaposition du blazer bleu marine, des chaussettes hautes et de la cravate sage avec la silhouette tranchante de la SG crée un contraste percutant : l’innocence feinte face à la sauvagerie sonique.
Cette association scénique est désormais indissociable de l’identité AC/DC — il suffit d’un coup d’œil pour reconnaître le riff avant même qu’il ne retentisse. Dans la mémoire collective du rock, difficile de faire plus marquant…
L’héritage familial : Malcolm, Stevie, et l’ADN SG chez AC/DC
On oublie trop souvent que la saga Gibson chez les Young ne s’arrête pas à Angus. Malcolm Young, architecte rythmique du groupe et grand frère tutélaire (paix à ses harmoniques), a lui aussi parfois jeté son dévolu sur des modèles Gibson — dont certaines SG — même si sa Gretsch Firebird modifiée reste légendaire. Anecdote absurde mais vraie : une L-6S de Malcolm a été confiée à Stevie Young car elle sonnait trop proche de la SG d’Angus (!!). Quand Stevie prend le relais après le départ définitif de Malcolm, il ne fait aucun doute que le choix d’une SG pour continuer l’aventure scénique n’a rien d’un hasard : c’est une filiation assumée.
Ce passage de témoin instrumental rappelle que la SG transcende les générations au sein du clan Young. Elle incarne ce mélange unique d’énergie brute et de simplicité barbare qui forge tout l’ADN sonore AC/DC. Pour mesurer cette fidélité intergénérationnelle, consultez notre dossier complet sur AC/DC.
La SG comme icône ultime pour les fans et collectionneurs
Impossible d’éluder ce phénomène : pour toute une génération de fans – voire plusieurs – posséder une véritable Gibson SG « façon Angus » c’est toucher physiquement à la légende. Cette guitare dépasse très largement son statut utilitaire : elle cristallise tout l’esprit rebelle du hard rock australien. Collections privées où trônent fièrement des modèles Standard ou signatures Angus Young ; forums où s’échangent trucs d’identification des numéros de série ; ventes confidentielles entre initiés pour arracher un exemplaire « Artist Proof »…
La fascination va plus loin que le simple fétichisme matériel : chaque détail (incrustations éclairs, pickguard biseauté) devient objet du culte et prolongement émotionnel du répertoire AC/DC. Certains exposent leur SG entourée de vinyles collectors comme on mettrait sous verre un vestige archéologique. Acquérir (ou rêver posséder) SA propre SG cherry red revient à revendiquer un fragment vivant de ce patrimoine musical mondial.
Entre deux silences saturés : il existe peu d’objets capables de générer pareil frisson identitaire dès qu’on effleure leurs contours diaboliquement familiers.
Pourquoi la SG d'Angus Young continue d'inspirer
Conseils pour les guitaristes souhaitant adopter le style d'Angus Young
S’attaquer au style Angus Young, c’est choisir une voie exigeante — mais ô combien grisante. Il ne suffit pas de reprendre les plans de "Back in Black" ou d’acheter une SG cherry : il faut s’imprégner du feu scénique et de la sincérité qui font tout le sel du jeu d’Angus. Voici ce que tout aspirant riffeur AC/DC devrait garder à l’esprit :
- Maîtriser les fondamentaux du rock : travailler la rythmique tranchante (power chords, barrés sobres) et oser amplifier les accords ouverts façon folk énervée — un secret souvent ignoré (source : Dinosaur Rock Guitar).
- Développer une présence scénique : sauter partout avec conviction, ne pas craindre le ridicule. L’attitude est indissociable du son.
- Utiliser une guitare réactive et puissante : une SG bien réglée, micros en forme, mais surtout un toucher précis. Nul besoin d’effets tapageurs : c’est VOUS qui faites vibrer le bois.
- Jouer avec conviction et énergie brute : chaque note doit être un coup de boutoir dans la porte du quotidien. Angus n’a jamais joué tiède.
- Ne jamais oublier le plaisir : si vous ne prenez pas votre pied, le public ne décollera pas non plus !
La valeur d'une Gibson SG 'Angus Young'
Posséder une véritable Gibson SG inspirée par Angus Young — qu’elle soit vintage, Custom Shop ou Signature — dépasse largement l’investissement financier (certains modèles signature dépassent aujourd’hui allègrement les 5000€, source : Equipboard). C’est acquérir un fragment vivant du mythe : toucher, sentir, entendre ce bois qui a forgé l’histoire du rock dur australien.
★★★★★ La Gibson SG d’Angus Young : un mythe intemporel du rock.
Il faut être lucide : la spéculation fait flamber les prix, mais rien ne remplacera l’émotion brute née des premières notes hurlées sur cet instrument.
La Gibson SG, extension de l’âme d’Angus Young et cœur électrique d’AC/DC
Ce n’est pas anodin : la Gibson SG n’est ni simple accessoire ni gadget collector. Elle pulse dans chaque veine des hymnes AC/DC ; elle vibre au même rythme qu’Angus sur scène depuis cinquante ans. Entre deux silences fracassés par le marteau du riff, elle incarne cette transmission directe entre âme et amplificateur — sans détour ni filtre inutile.
La SG est le prolongement de l’âme fébrile d’Angus Young et demeure à jamais le battement de cœur électrique d’AC/DC ; elle reste ce cri incandescent poussé par tous ceux qui refusent que le rock meure assis.
